L'OMS et les
responsabilité occidentales dans les conséquences sanitaires
de la catastrophe de Tchernobyl (automne 2000). Où comment le
professeur Pellerin, après avoir arrêté le nuage aux frontières,
est allé persuader les ukrainiens et biélorusses que leurs
scientifiques étaient incompétents, que Tchernobyl n'était pas si
grave qu'on le prétendait, et comment les critères économiques
sont apparus dans les normes de radioprotection.
Un article dénonçant les accord passés entre
l'OMS et l'AIEA en 1958, accords par lesquels l'OMS s'engage,
entre autres, "à ne plus entreprendre de recherches, ni publier
de documents pouvant gêner la promotion des centrales atomiques, et
à conserver un caractère confidentiel à certaines informations
sensibles. "